Lundi 27 aout 2007


J’ai pris goût aux balades. Aujourd’hui, j’ai flâné en centre ville et dans les petites rues alentour, avec Lady Soveireign et HellFish dans les oreilles. Vers midi, un petit tour à l’Alliance Française. J’y ai retrouvé Raymond, le directeur, que je n’avais pas revu depuis qu’on avait bu un coup dans le Vieux Lyon. Quand je suis entrée, il discutait avec une minette, de 17 ans peut-être, brunette bronzée avec sandales et ceintures cloutées de diamants, boucles d’oreilles qui n’en finissaient pas de tomber, mini short et mini top noirs. Le prêt-à-porter nous sert le prêt-à-niquer ! Au grand dam des mauvaises langues, je ne dirai qu’une chose, elle était très gentille. Et oui. Elle avait besoin de quelques conseils avant de partir étudier à Strasbourg, à la rentrée. Je lui ai dit de s’habiller.
J’ai mangé avec le dit monsieur à la « cantine » de la Délégation Régionale (ou un truc comme ça), pour un menu à 500ft. C’était plutôt bien bon, sauf la soupe de tomates sucrée, beurk ! Ensuite, il a eu la gentillesse de m’accompagner au MAV acheter mon billet de train pour Budapest. Je pars mercredi, pour une réunion de deux jours à l’Institut Français, avant que les choses sérieuses ne commencent…
Avant de se quitter, on s’est chacun acheté une carte BlaBlaBla – juré, elle s’appelle comme ça – dans une maison de la Presse, pour téléphoner à l’étranger (50 minutes pour 1000ft). Je vais pouvoir appeler la famille sans trop de frais, c’est bon plan.
J’ai laissé Raymond retourner à ses affaires à l’Alliance, et j’ai repris ma flânerie en solo… l’ai finie en achetant une barquette de mûres bien noires, bien juteuses, à une petite vieille qui les vendaient à la sauvette devant un Hard Discount. Ça l’a fait beaucoup rire que je vienne de France, je sais pas !

Et pour le mot foireux de la fin, l’eau courante du Mont Avás donne la courante.

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