
Et puis il y a les urgences. Pour lundi, je dois rebricoler mon speech sur Lyon, et préparer un quizz, le genre de trucs pas chiants en soi, mais qui prend du temps. Sans compter les prépa’ de cours, bien sûr, qui prennent bien du temps, et les petits trucs annexes que demandent les lycées – par exemple, noter tous mes élèves (140) sur leur assiduité et leur comportement. Et j’en ai trois des lycées. Ça me gonfle de m’embourber dans le quotidien ! On ne peut jamais se projeter, prendre le temps pour préparer la suite… Surtout que bientôt, on aura plus de choses à gérer encore. La fête de la francophonie ! A la fac, j’ai appris que c’était le 20 mars, et qu’on organisait quelques petits évènements dans toute la sphère francophone. Ce que je ne savais pas, c’est qu’en Hongrie, elle dure du 6 au 20 mars, qu’on va devoir participer et aider à l’organisation d’un tas de choses, préparer des speechs, préparer les élèves à certaines manifestations, et ce à Budapest et à Miskolc. C’est chouette, ça va casser la routine et permettre de proposer un tas de trucs rigolos aux élèves, sûr, mais pétard, le mois de mars va filer plus vite qu’un diarrhéique dans le métro… Bref, je commence à angoisser sur ce qu’on a à faire, et le temps qu’on a pour le faire.
Alors histoire de ne pas me mettre à jour et oublier, j’ai retrouvé Péter au Plaza, avec Agnès et un pote à lui, pour jouer au billard. J’aime bien jouer au billard avec mes élèves ! Ca m’a rappelé mes foyers du jeudi soir à Branly, c’était marrant. On a pas franchement bien joué, mais on a quand même sauvé la face ! C’est important.
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