Mardi 27 mai

Vendredi avait lieu le concours de pétanque du lycée Fáy. Le fameux ! les cours finis, j’ai donc accueilli Agnès et Gégé au lycée, et on est parti taquiner le terrain… Après un scrupuleux tirage au sort, j’ai pu faire équipe avec mon petit Botond que j’aime, et Dezsö, que j’aime pas trop, mais tant pis. Deux loulous de 9ème qui se sont bien défendus, qui ont fièrement rabaissé le caquet cette vieille chieuse de Rosalie – une allumée souvent sympa, mais parfois irritée et irritable. Mais on a même pas gagné ! C’est Agnès qui s’en est bien tirée, troisième au classement, et Olivier, qui est arrivé dans l’après-midi et qui s’est faufilé dans la compèt’ pour finir deuxième. Ils ont gagné de beaux tee-shirts, houla très beaux. Et une médaille, ça rigole pas dans mon lycée.
Pis on est enfin partit à Szeged ! Pour l’anniversaire de Gwen. On est tout plein à être descendus dans le Sud pour un dernier gros week end JD… Une route de 5 heures pour y arriver ! Mais dans l’AX d’Olivier, y’avait moyen de rigoler quand même. Et ça a été le cas. Maintenant, je peux chanter « j’ai encore rêvé d’elle » sans les mains les yeux fermés. Un peu avant minuit, on a retrouvé la troupe en plein festival du pinard. La place était recouverte de tablées et de stands de rouge, de blanc, et de rosé. Je me suis tenue. Et vu que mes ring’ de copains, ils aiment les discothèques, j’ai même pris de l’avance en dormant sur une banquette délaissée. Ça ne m’a pas empêché d’avoir à acheter de l’Advil Ultra le lendemain, au plus grand bonheur de tous mes compagnons. Petit resto pas cher à midi puis balade dans la ville. C’est joli Szeged ! Et puis c’était rigolo, on faisait la fête dans la fête en fait. On a tenté un concert, et puis on a terminé chez Gwen, pour lui offrir son vélo. Elle reste l’an prochain, ça lui fera les pieds. Enfin les mollets. Une petite soirée tranquille, qui permet de discuter avec un tas de gens qu’on a moins l’habitude de voir. Et ça fait plaisir.
Le retour a été plus douloureux ! Pas qu’on ait pas rigolé, mais on s’est retrouvé à Debrecen sans train pour Miskolc ! Moi, je m’en fichais, mais Agnès, elle, commençait à 8h40. Tendu, donc. Olivier nous a accueillies, et a du se lever à 6h pour nous conduire à la gare. Il n’était même pas fâché que j’ai ronflé tout l’alcool de ce week end. Sympa.

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