
Lundi 18 février 2008

Ah oui, quand même ! Un poil difficile de se lever ! Et en plus, je suis la première sur le planning douche (enfin, on est deux sur le planning. Agnès et moi)… 8h, c’est un peu la surprise, à notre porte, nous attendent Géraldine et Céline, et Michael et Mehdi. Chouette. C’est peut-être idiot, mais ce week end, je crois sentir que le groupe se soude.
Il fait un froid de canard laqué ! On pensait avoir l’habitude à Budapest, avec ce zef constant. Heureusement, il fait beau. Un beau soleil d’hiver, encore et toujours. Arrivés à l’Institut Français, nous avons eu, tout bien comme prévu, nos deux croissants… Hummm, des vrais en plus ! Et hop, Laurent W. à la charge, pour débuter la matinée théâtre. On a bien rigolé, comme d’habitude. Un peu moins quand il a fallu préparer, en petits groupes, en moins de dix minutes, une interprétation. Dans mon groupe, on est tombé sur un texte complètement loufoque. Enfin, selon les autres, qui faisaient le public les yeux fermés, on s’en est bien sorti. Moi, j’ai beaucoup aimé l’interprétation toute personnelle du groupe qui a repris la fable de La cigale et la fourmi. Après le traditionnel déjeuner pris tous ensemble, on a remercié Magda et chacun est allé faire sa vie, pour l’après-midi. Rendez-vous 19h à l’hôtel du Ministère pour aviser du programme de la soirée. J’ai préféré suivre Cécile, puisque c’était sa dernière journée avec nous. Géraldine, Agnès, Cécile, et moi avons donc rejoint Michael à la Brasserie Belge, puis on a essayé de se balader dans la ville. Mais le froid nous a surtout contraint à visiter les bars (ma foi bien jolis) de la capitale. Après des adieux fort émouvants sur le quai de la gare, on a laissé Cécile à ses propres aventures, pour se promener du côté de la grande synagogue et boire un dernier café avant de retrouver les autres. On a à peine eu le temps de prendre l’apéro en chambre 34 avec Mehdi, rentré de sa petite virée sur la colline de Buda, qu’un troupeau de JD est arrivé pour nous convier au restaurant. Va pour celui-là, il est sympa. Enfin, comme d’habitude, finir les assiettes fut un challenge, uniquement relevé par les gars. Pour digérer, il fallait bien se faire violence, alors on a suivi Gwenaëlle et la troupe au Szodá bar, où nous ont rejoints les derniers JD au fil de la soirée. J’ai commencé par un baby-foot en duo avec Maïté (une Belge qui travaille dans le même type de structure que nous), une brunette pleine d’énergie et très sympa. On a, je tiens à le dire, mis la tatane à Michael et Mehdi : 8-1… Z’ont frôlé la Fanny… Bon, après, on a un peu perdu… Mais deux Hongrois leur ont mis encore une belle branlée derrière, histoire que leur passe l’envie de venir nous embêter.
Après un mojito (j’avais vachement envie d’un mojito), me suis laissée convaincre d’aller remuer du popotin sur la piste. Et comme c’était trop sympa, bah je me suis plus arrêtée. Un tas de Jd et de Jdettes ont défilé sur la piste au cours de la soirée, mais je crois que Michael et moi, on tient le record. Mehdi, Agnès, Greg, et Maïté se sont bien défendus aussi ! Vrai bon délire. Ça faisait longtemps. On s’est demandé si on avait pas deux, trois choses à évacuer… Enfin, vers 2h30, on s’est tout de même souvenus qu’on avait tous une semaine et un week end chargé dans les pattes… Taxi et au lit !
Une fois de plus, j’ai du me réveiller tôt… Enfin, je l’avais cherché, puisque j’avais demandé à Titi de me couper les cheveux ce dimanche. Alors suis allée me promener et boire un café toute seule (ce qui n’est pas mal non plus) et suis passé aux ciseaux, arrivée chez Seb et Titi. Me voilà frangée ! C’est mamie qui va être contente. Vingt ans qu’elle attendait ça. Moi moins, mais vachement aussi ! Je sens que ça va animer les débats le premier quart d’heure de cours pendant une semaine… J’ai rejoint Agnès, Géraldine, Mehdi et Michael dans un resto de tapas, le Pata Negra. Mince, elles avaient raison les filles, le serveur a un sourire à faire fondre ! Décor sympa et très bons plats. Parfaite cerise sur le gâteau ce dernier petit resto du week end. Ça a permis à Agnès de me raconter sa fin de soirée avec le Belge de Marseille… Après avoir fait durer le plaisir avec une crème catalane et un café, on s’est décidé à quitter notre serveur… Les garçons étaient déjà partis depuis un moment, Géraldine aussi… A notre tour, on est allé à la gare, exténuées mais bien contentes.
Vendredi 8 février 2008

Dimanche 3 février 2008

Et grâce à un petit mélange de Céline, même l’entrée a pu se refaire une santé. Elle est violette ! A moins que ce soit mauve. Enfin, c’est joli ! Voire classe… Y’a que la salle de bain qui me laisse perplexe. J’espère avoir le temps de faire une retouche d’ici peu.
Enfin, c’était du boulot, mais ça ne nous a pas empêché de profiter un peu du week end. On a emmené Céline et Géraldine dans notre resto magyar, où je défie quiconque de pouvoir finir son assiette (si on peut appeler ça une assiette). Les petites veinardes ont même eu la chance de rencontrer le vieux qui berce les clients de sa voix suave, sur fond de vieux synthé (calé sur l’aquarium moche du resto)… Je manque à chaque fois de m’étrangler tellement il est génial. Il faut a-bso-lu-ment qu’on se fasse photographier avec lui avant la fin de l’année. C’est une phénomène. La musique est horripilante, sa voix est indescriptible, et le pire c’est qu’il détruit toutes les émotions que vous pouviez avoir sur de vieux classiques. Je ne pourrai jamais plus écouter Bella ciao sans penser à sa version toute personnelle… Et pourtant, on l’aime bien, le bonhomme. Pis faut bien admettre qu’à chaque fois, on est les seules perplexes. D’ailleurs, samedi soir, les filles ont pu admirer une belle farandole sur ses rythmes endiablés. Donc, si on réfléchit bien, c’est nous qu’on a un problème.
Aujourd’hui, il fait un temps splendide ! Ce qui est souvent le cas ces temps-ci. Après avoir bu un dernier café toutes les quatre, les JD d’Eger sont reparties, pis nous on a flâné ! Comme tous les premiers dimanches du mois, il y a eu la grande brocante. Et cette fois, tout le long de la rue principale. C’était bien plus sympa. C’est incroyable tout ce qu’il y a ! On a tout de même un peu tiqué sur les stands nazillons… les stands de vieux bidules de guerre, ça y’en a toujours tout plein (acheter un vieux casque, une gourde percée, un sac kaki), mais un stand d’insignes III° Reich, vaisselle et autres breloques de faf’ brrrr… pas aimé. Plus loin, un vieux a essayé de nous vendre un tableau, certes bien joli, mais à 300€… l’équivalent de la paie du mois. Il a pas voulu le négocier à 10€, tant pis pour lui. Agnès s’est rabattu sur un collier, et moi sur une affiche.
Mercredi 29 janvier 2008

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